Saint-Malo
Misère ! Pauvreté de l'intellect en fin de saison. Usure du cervelet. J'avais posté un message vous prévenant de mon absence du 3 au 18 juillet. Composé le 1er de ce mois, il devait paraître automatiquement le 3. Patatras, je me suis emmêlé les touches du clavier et l'ai programmé bêtement pour ce jour. Errare ursum est (je ne suis pas très sûr de cet ursum, mais, vous l'aurez compris, le plantigrade à l'instar de l'humain est imparfait.
Finalement, par manque de temps et d'argent, pas d'or aztèque, pas de surf au spot de Maverick, pas de rencontre contre les All Blacks en Nouvelle-zélande, pas de passage du Cap Horn en voilier. Ce fut Saint-Malo. C'est moins loin, plus familial et tellement plus dans l'air du temps où les rêves accessibles dans cette ville sont ceux d'une petite bourgeoisie mercantile. Ouais, le monde a bien changé ! je vous en reparlerai.